Journée d’été du Réseau Normand : sam.11 juillet – Manoir d’Argouges

Journée d’été du Réseau Normand  : sam.11 juillet – Manoir d’Argouges

En remplacement du dîner normand de Caen (25 juin) qui est reporté, nous vous proposons de profiter :

    d’une journée privilégiée au Manoir d’Argouges, avec les membres du Réseau Normand :

samedi 11 juillet 2015

 

 

Avoir du temps pour se rencontrer et échanger dans un lieu d’exception : le Manoir d’Argouges.
Bertrand et Laure Levasseur, membres du Réseau Normand, nous accueillent le temps d’une visite guidée et d’un déjeuner.
Venez vous plonger dans un des hauts lieux de notre histoire normande et de ses légendes.

Formule :   37 € / personne.

     comprenant la visite commentée par les hôtes du lieu;   

     l’apéritif suivi d’un cocktail-déjeûnatoire (boissons et café vins compris).

 

Déroulé de la journée, le samedi 11 juillet :

 

  9h30……Rendez-vous sur le parking du Manoir d’Argouges, 14400 Vaux-sur-Aure,

10h00……présentation introductive en intérieur, puis visite extérieure, suivie de la visite intérieure.

12h00……Apéritif, suivi du cocktail-déjeûnatoire

16h00……Fin de la journée

 

Inscriptions jusqu’au 18 Juin.
Bulletin d’inscription  à retourner accompagné du chèque à l’ordre de Réseau Normand.  : Bulletin inscription – Journée d’Argouges v1

 

à noter :
Il est proposé une formule « Spécial-enfant » (< 12 ans) à 22 €/enfant   ;    comprenant la Visite avec cocktail-maison (sans alcool) et repas appropriés.    -     Si le temps le permet, l’espace extérieur est suffisamment grand pour que les plus jeunes puissent jouer dehors – s’ils le souhaitent.
(en dessous de 8 ans, la journée n’est pas adaptée).

 

Visitez dès maintenant le lieu par le site web : www.manoir-argouges.com

K800_carte Argouges

  fee argouge

La légende de la fée d’Argouges :

Un dragon terrorisait les villageois qui vinrent demander secours au seigneur des lieux.

Fort de sa fougueuse jeunesse, celui-ci parvint dans l’antre des Fosses du Soucy, où il terrassa le monstre.

Mais la bête morbide s’effondra sur le preux chevalier, prêt à rendre son âme à Dieu…

Apparut à cet instant la fée, créature superbe, qui proposa à l’infortuné de le délivrer et de l’épouser, à la seule condition qu’il ne prononçât jamais le mot « mort ».

Ils se marièrent, eurent sans doute beaucoup d’enfants et vécurent heureux, jusqu’au jour fatidique où notre beau seigneur, s’impatientant des lenteurs de son épouse à se préparer pour un bouquet voisin, s’emporta et s’exclama : « Dame, vous êtes bien longue en vos besognes et seriez bonne à aller quérir la mort ! »

 Un effroyable silence s’ensuivit, soudain percé par un atroce cri de douleur… La fée disparut à cet instant précis, laissant une main pour toute empreinte.

 Elle réapparait certains soirs de pleine lune, sur les douves du Manoir d’Argouges, où un murmure plaintif se propage confusément, comme pour signifier son regret d’avoir quitté le monde des bons vivants qu’elle avait tant aimé… »